Christine Salem, de son regard rageur et de sa voix abrupte, aussi solide que son poing levé.
Libre, insurgé, le maloya de Christine Salem, mi-blues rageur, mi-transe viscérale, l'est assurément. Ne porte en lui qu'un seul cri, celui du cœur. Qu'une seule couleur, celle de l'âme, bien sûr. Cette âme que l'artiste réunionnaise soigne volontiers en studio, à la guitare, au kayamb (sorte de shaker rempli de graines) ou au rouleur, ce tambour massif au son sourd.
#ChristineSalem